François de Salignac de La Mothe-Fénelon dit Fénelon, né le 6 août 1651 au château de Fénelon à Sainte-Mondane, mort le 7 janvier 1715 à Cambrai, est un homme d'Église, théologien et écrivain français.
« J'étais abîmé dans la plus amère douleur. »
« Rien n'est si contraire à la simplicité que le scrupule. Il cache je ne sais quoi de double et de faux. »
« Le plus libre de tous les hommes est celui qui peut être libre dans l'esclavage même. »
« L'homme s'agite, mais Dieu le mène. »
« C'est la poésie qui a adouci les hommes farouches. »
« Ne vous laissez point abattre à la douleur. »
« Les princes ont un pouvoir infini sur ceux qui les approchent; et ceux qui les approchent ont une faiblesse infinie en les approchant. »
« Ceux qui craignent Dieu n'ont rien à craindre des hommes. »
« Une femme, nommée Pantée, était abandonnée de tous les médecins. »
« Attendez à les lui donner quand il aura assez de force. »
« Les plaisirs pris sans modération abrègent plus les jours des hommes que les remèdes ne peuvent les prolonger. »
« Une belle esclave verse de l'eau d'une aiguière d'or sur un bassin d'argent... »
« Ce n'est pas difficile, c'est le beau que je cherche. »
« C'est avoir Dieu que de l'attendre. »