« Un animal, c'est de la vie enveloppée de fourrure ou d'écailles, habitée par l'inquiétude, capable oh combien capable de tendresse, de force, de courage et de peur. »
« L'actionnaire est la plus belle invention du capitalisme. Le partage des responsabilités par un grand nombre. La politique de la peur, de la faim, de la misère diluée au niveau des masses qui en souffrent. »
« Les dettes c'est pas comme un repas ; ça ne se partage pas. »
« La guerre ? Un constant d'échec. »
« Et la jeunesse ? C'est sentir la folie du monde adulte et la refuser. C'est croire aux vertus de la parole, au profond désir de paix. »
« La diplomatie a ses raisons que l'altruisme ne connaît pas. »
« Le mot paix est orphelin. Il ne connaît pas sa mère qui serait : pacifier. »
« Nous ne regardons pas la télévision. La télévision nous regarde, nous épie, nous interroge, exploite nos faiblesses, nous hypnotise, nous effraie. »
« Le pouvoir est le collant à mouches. Qui s'y frotte s'y englue. »
« C'est l'homme qui rend l'homme semblable à la bête humaine. »
« Il n'y a plus d'histoire. Que des histoires. Il n'y a plus de vérité. Que des dogmes. »
« Prison : maison on ne peut plus communautaire dont personne ne possède la clé. »
« L'homme qui agit précède d'un pas l'homme qui réfléchit. »
« La charité. Ce sentiment qu'aime éprouver le riche pour le pauvre. »