« Les hommes qui sont malheureux, comme ceux qui dorment mal, sont toujours fiers de ce fait. »
« Les maths peuvent être définies comme la science dans laquelle on ne sait jamais de quoi l'on parle ni si ce que l'on dit est vrai. »
« Le problème en ce bas monde est que les imbéciles sont sûrs d'eux et fiers comme des coqs de basse cour, alors que les gens intelligents sont emplis de doute. »
« L'ennui dans ce monde, c'est que les idiots sont sûrs d'eux et les gens sensés pleins de doutes. »
« La science ne cherche pas à énoncer des vérités éternelles ou de dogmes immuables; loin de prétendre que chaque étape est définitive et qu'elle a dit son dernier mot, elle cherche à cerner la vérité par approximations successives. »
« Il est intéressant de comprendre une bonne fois que la géométrie qu'on enseigne dans les écoles depuis les Grecs est en train de perdre son autonomie dans la hiérarchie des sciences et d'être annexée par la physique. »
« Les équations n'explosent pas. »
« Le problème du monde, c'est que les imbéciles sont présomptueux et les gens intelligents bourrés de doutes. »
« Tout le problème de ce monde, c'est que les idiots et les fanatiques sont toujours si sûrs d'eux, tandis que les sages sont tellement pleins de doutes. »
« ... Une émotion qui ne résiste pas à quelques malheureuses équations ne saurait être ni très sincère ni très rare. »
« La notion de devoir, du point de vue historique s'entend, fut un moyen qu'ont employé les puissants pour amener les autres à consacrer leur vie aux intérêts de leurs maîtres plutôt qu'aux leurs. »
« L'objet de la philosophie, c'est de partir d'une chose si simple que ça ne vaut pas la peine d'en parler et d'arriver à une chose si compliquée que personne n'y comprend plus rien. »
« L'objet de la philosophie est de commencer avec une chose si simple que ce n'est même pas la peine d'en parler et de terminer avec quelque chose de si paradoxal que personne ne veut y croire. »
« L'arbre de la liberté ne saurait croître s'il n'était arrosé du sang des rois. »