« Tu dois ouvrir ta main à ton frère, à celui qui est humilié et pauvre dans ton pays. »
« A quoi bon de l'argent dans la main d'un sot ? A acheter la sagesse ? Il n'y a pas le cœur ! »
« L'insensé laisse voir à l'instant sa colère mais celui qui cache l'outrage est un homme prudent. »
« L'homme et la femme étaient tous deux nus et ils n'en avaient pas honte. »
« Vous serez comme des dieux, qui connaissent le bien et le mal. »
« Nous parlons plutôt que nous ne pensons. »
« Ce qui est tordu ne peut être droit, ce qui manque ne peut être compté. »
« Ce qui fut, cela sera ; ce qui s'est fait se refera ; et il n'y a rien de nouveau sous le soleil. »
« Feindre d'ignorer ce qu'on sait, de savoir tout ce que l'on ignore... Voilà toute la politique. »
« L'usage est souvent un abus. »
« L'adolescence serait toujours cela : le partage de quelques illusions. L'âge adulte, la solitude des déceptions. »
« On ne s'intéresse guère aux affaires des autres que lorsqu'on est sans inquiétude sur les siennes. »
« En occupant les gens de leur propre intérêt, on les empêche de nuire à l'intérêt d'autrui. »
« Pourvu que je ne parle ni de l'autorité, ni de la politique, ni de la morale, ni des gens en place, ni de l'opéra, ni des autres spectacles, je puis tout imprimer librement, sous la direction, néanmoins, de deux ou trois censeurs. »