« Il n'y a que les pères et les mères qui s'affligent véritablement de la maladie de leurs enfants. »
« Le cœur des mères se glisse derrière les lois des hommes. »
« Les filles menacent toujours les mères parce qu'elles ont un corps de femme. »
« Les mères n'ont pas de rang, pas de place. Elles naissent en même temps que leurs enfants. »
« La ville n'est pas grande, mais fort ancienne et bien renommée pour l'apport qu'il y a, à cause de l'apparition de certaines deesses qui y sont reclamées et que l'on appelle les Meres. »
« Les fils ne savent pas que leurs mères sont mortelles. »
« Tout homme a deux mères: la nature et les circonstances. »
« Dans le théâtre, il y a beaucoup de filles qui deviennent mères, mais il y a encore plus de mères qui deviennent des filles. »
« Seules les femmes, les mères, savent ce qu'est le verbe attendre. »
« Où les mères peuvent-elles donc avoir appris toutes ces choses qu'elles soupçonnent constamment leurs filles de faire dès qu'elles ont le dos tourné ? »
« Nos mères sont nos enfants et nous voulons que nos enfants soient nos mères. »
« La femme serait vraiment l'égale de l'homme le jour où, à un poste important, on désignerait une femme incompétente. »
« Une famille, c'est cela : quelques personnes qui s'aiment bien et se le répètent, à chaque instant, par de petites attentions, des taquineries, une voix tendre... »
« Les racines de l'éducation sont amères, mais ses fruits sont doux. »