« Il est de la responsabilité de tous de veiller à ce que les nouveaux moyens de diffusion de l'information se traduisent par un enrichissement, et non un appauvrissement du patrimoine culturel mondial. »
« A quoi bon fuir ? Oui, à quoi bon ? Puisque nul ne peut se quitter lui-même. Toute la sagesse de vivre tient là-dedans : savoir qu'il faut en sortir mais qu'on ne peut pas partir... »
« Le bonheur, c'est d'être fidèle aux aspirations de son âme. C'est d'être assez brave et assez fier pour écouter les voix qui montent de l'âme et obéir à la plus belle. »
« C'est drôle, les hommes. Ça vous tape sur les nerfs ou ça veut vous priver de vous énerver. »
« Le meilleur moyen de n'avoir besoin de personne, c'est de rayer tout le monde de sa vie. »
« Le chercheur doit être libre de tenter des expériences audacieuses, de soutenir des théories révolutionnaires, voire paradoxales. Il doit disposer du droit à l'erreur. »
« En grandissant, un enfant s'use. »
« Le danger qui menace les chercheurs aujourd'hui serait de conclure qu'il n'y a plus rien à découvrir. »
« La créativité est-elle indissociable de l'esprit de compétition ? »
« Avec le violon, il faut choisir : ou bien tu joues juste, ou bien tu joues tzigane. »
« La vocation première d'un chercheur est de créer de l'information nouvelle et non pas de manipuler d'une manière de plus en plus élaborée l'information déjà disponible. »
« Une race à laquelle on ne veut plus guère appartenir : la race humaine. »
« L'appât du gain ne représentera jamais la motivation principale du chercheur. »
« Toute avancée des connaissances génére autant d'interrogations qu'elle apporte de réponses. »