« La politesse est une noblesse qui rehausse toutes les conditions. »
« Le Dieu de mon âme n'est pas le résultat de recherches scientifiques, mais le gouverneur des lois morales de ma conscience. »
« Qui a su aimer la terre a aimé l'éternité. »
« La limite entre le mal et le bien est aussi mobile et instable qu'un sentier de crête en craie fondante. »
« La joie véritable se suffit à elle-même. »
« Quand l'homme n'aura plus de place pour la nature, peut-être la nature n'aura t-elle plus de place pour l'homme. »
« L'homme est chose sacrée, à laquelle nul n'a le droit de toucher. »
« Dieu donne à la franchise, à la fidélité, à la droiture un accent qui ne peut être ni contrefait, ni méconnu. »
« Une constitution qui est faite pour toutes les nations n'est faite pour aucune. »
« La terre entière, continuellement imbibée de sang, n'est qu'un autel immense où tout ce qui vit doit être immolé sans fin, sans mesure, sans relâche, jusqu'à la consommation des choses, jusqu'à l'extinction du mal, jusqu'à la mort de la mort. »
« Les fausses opinions ressemblent à la fausse monnaie qui est frappée d'abord par de grands coupables, et dépensée ensuite par d'honnêtes gens qui perpétuent le crime sans savoir ce qu'ils font. »
« Le glaive de la justice n'a pas de fourreau. »
« A force d'être malheureux on finit par devenir ridicule. »
« Le christianisme a été prêché par des ignorants et cru par des savants, et c'est en quoi il ne ressemble à rien de connu. »