« Heureux qui pour la Gloire ou pour la Liberté, - Dans l'orgueil de la force et l'ivresse du rêve, - Meurt ainsi d'une mort éblouissante et brève. »
« Et ses yeux n'ont pas vu, présage de son sort, - Auprès d'elle, effeuillant sur l'eau sombre des roses, - Les deux Enfants divins, le Désir et la Mort. »
« Le choc avait été très rude. Les tribuns - Et les centurions, ralliant les cohortes, - Humaient encor, dans l'air où vibraient leurs voix fortes, - La chaleur du carnage et ses âcres parfums. »
« Heureux qui peut dormir sans peur et sans remords - Dans le lit paternel, massif et vénérable, - Où tous les siens sont nés aussi bien qu'ils sont morts. »
« Chaque soir de marché, fait tinter dans sa main - Les deniers d'argent clair qu'il rapporte de Rome. »
« Bien sûr qu'il y a des gens honnêtes, sincèrement droits, sur lesquels on peut compter jusqu'à la mort. Mais ils ne sont pas drôles. Tandis qu'une crapule... »
« Le drame des dictatures, c'est qu'elles donnent toute licence aux malades mentaux, aux mégalomanes, aux méchants, aux malhonnêtes gens d'aller jusqu'au bout de leur folie, de leur mégalomanie, de leur méchanceté, de leur malhonnêteté. »
« La fatigue n'est pas le prix qu'on paie, mais celui qu'on reçoit... »
« La dignité passe par le sentiment qu'on a de son utilité. »