« L'optimisme vient de Dieu, le pessimisme est né dans le cerveau de l'homme. »
« Il convient de préparer d'abord le cerveau de l'homme avant que d'y rien imprimer. Il faut premièrement apprendre à douter avant d'apprendre à croire tout. »
« L'homme naît avec des sens et des facultés ; mais il n'apporte avec lui en naissant aucune idée : son cerveau est une table rase qui n'a reçu aucune impression, mais qui est préparée pour en recevoir. »
« L'art de la femme doit être un art né de la chair de la matrice et non des cellules du cerveau..., elle doit créer ce que l'homme a détruit originellement, ce monde de l'unité créé par Dieu et que la conscience trop fière de l'homme a ébanlé et divisé. »
« L'homme commence par être un tube digestif, ensuite un sexe, parfois un cerveau. »
« La pire des institutions grégaires se prénomme l'armée. Je la hais. Si un homme peut éprouver quelque plaisir à défiler en rang et aux sons d'une musique, je méprise cet homme... Il ne mérite pas un cerveau humain puisqu'une moelle épinière le satisfait. »
« L'optimisme vient de Dieu, le pessimisme est dans le cerveau de l'homme. »
« La conscience, [...] Chose sombre que cet infini que tout homme porte en soi et auquel il mesure avec désespoir les volontés de son cerveau et les actions de sa vie ! »
« Les livres présument que la pensée siège dans le cerveau, la vie prouve que l'homme pense avec ses autres viscères. »
« Les médecins sont sujets à être matérialistes, et les astronomes à être athées. C'est que les premiers ont continuellement sous les yeux le cerveau de l'homme, tandis que les autres n'aperçoivent nulle part le cerveau du monde. »
« Le noeud est à la cravate ce que le cerveau est à l'homme. »
« Cerveau. Appareil avec lequel nous pensons que nous pensons. Ce qui distingue l'homme qui se contente d'être quelque chose de celui qui souhaite faire quelque chose. »
« Une surabondance de miel écœure, une surabondance de vin trouble le cerveau, ainsi une surabondance de confort draine l'homme de sa force. »
« Un homme qui se plairait trop à la lecture des essais de Maeterlinck serait un homme perdu. Si l'on veut vivre d'une vie humaine extérieure et retentissante, il ne faut ouvrir que quelques fenêtres de son cerveau, et laisser fermées les autres. »