« Quand maman est fatiguée, pourquoi c'est moi qui doit aller se coucher ? »
« La tristesse est un mur élevé entre deux jardins. »
« Les sages sont ceux qui ont compris que de ce que le commun des êtres appelle la vie il n'y a rien à tirer que froid et tristesse et qui sont partis, avec leur pensée, en quête d'autre chose qui est au-delà du froid et du chaud, du rire et des larmes. »
« Il n'existe de plus grande douleur au monde que la perte de sa terre natale. »
« Rien ne vaut une douce maman. »
« La mort du présent n'est rien ; c'est la perte de l'avenir en soi qui est déchirante. »
« La vraie tristesse de la solitude tient à ce que, loin d'y être seul avec soi, on y subit la pire compagnie, la présence intériorisée des autres, la loi du clan. »
« Le choix n'existe qu'entre deux choses : le gain ou la perte. »
« Un bébé, c'est du travail à temps plein pour trois adultes. Personne ne vous dit, quand vous êtes enceinte, combien c'est accaparant d'être maman. »
« La maman est aux anges par définition, attitude que personne ne peut critiquer. »
« J'ai glissé cette lettre dans mon imitation, un vieux livre qui appartenait à maman, et qui sent encore la lavande, la lavande qu'elle mettait en sachet dans son linge, à l'ancienne mode. »
« La fête des mères est un prétexte, car on fête toute l'année sa maman. »
« Comme le ver mange le vêtement, et la pourriture le bois, ainsi la tristesse de l'homme lui ronge le cœur. »
« C'est dans l'absolue ignorance de notre raison d'être qu'est la racine de notre tristesse et de nos dégoûts. »