« L'homme naît avec des sens et des facultés ; mais il n'apporte avec lui en naissant aucune idée : son cerveau est une table rase qui n'a reçu aucune impression, mais qui est préparée pour en recevoir. »
« L'hystérie, c'est lorsque le sexe prend la place du cerveau pour commander la vie. »
« La vieillesse est une langue étrangère qu'il faut apprendre à un âge où le cerveau n'est plus guère disposé à acquérir de nouvelles connaissances. »
« Au travail, le plus difficile, c'est d'allumer la petite lampe du cerveau. Après, ça brûle tout seul. »
« L'homme commence par être un tube digestif, ensuite un sexe, parfois un cerveau. »
« Aimer, oui. Mais pas le genre d'amour-toujours avec cadenas autour du vagin et court-circuit dans le cerveau. »
« Si je soulève des haltères, je me muscle les biceps, mais si je pense que je les soulève, je me muscle le cerveau. »
« Halloween n'a rien de drôle. Ce festival sarcastique reflète plutôt une soif de revanche des enfants sur le monde adulte. »
« La plus grave maladie du cerveau c'est de réfléchir. »
« La conscience, [...] Chose sombre que cet infini que tout homme porte en soi et auquel il mesure avec désespoir les volontés de son cerveau et les actions de sa vie ! »
« Dans la balance de la destinée, le muscle ne pèse jamais autant que le cerveau. »
« Oui, oui ! Je sais ce qu'être dieu, et ce n'est pas drôle tous les jours. Je parle du bon Dieu, cela va sans dire. Pour l'autre, celui qui n'est pas bon, il doit avoir une vie plus facile. »
« On prétend que l'ambition exclut l'amour. Les deux peuvent cohabiter, l'une se logeant au cerveau, l'autre au cœur. »
« Si l'on veut vivre d'une vie humaine extérieure et retentissante, il ne faut ouvrir que quelques fenêtres de son cerveau, et laisser fermées les autres. »