« La nuit ne tombe pas à Rome ; elle s'élève du cœur de la ville, des sombres petites ruelles et des cours où le soleil ne pénètre que d'un rayon, puis, comme la brume du Tibre, elle glisse sur les toits et se déploie sur les collines. »
« ... Eternellement la science des maîtres passera dans le cœur des disciples, dans un grand silence attentif, comme cette huile rousse de mes collines qui coule du pressoir dans la jarre par un long fil d'or immobile,..., sans faire de bruit. »
« Le train de la vie, c'est un petit train, qui va des montagnes de l'ennui aux collines de la joie. »
« Travail et application sont les ailes ;Elles franchissent fleuves et collines. »
« Italie! Italie! ah! pleure tes collines, - Où l'histoire du monde est écrite en ruines! »
« La science des maîtres passera dans le cœur des disciples, dans un grand silence attentif, comme cette huile rousse de mes collines qui coule du pressoir dans la jarre par un long fil d'or immobile, sans faire de bulles sans faire de bruit. »
« La chaleur pétillait sur les tuiles. Le soleil n'avait plus de corps; il était frotté comme une craie aveuglante sur tout le ciel; les collines étaient tellement blanches qu'il n'y avait plus d'horizon. »
« Sur terrain plat, de simples buttes font l'effet de collines. »