« Flâner, ce n'est pas suspendre le temps mais s'en accommoder sans qu'il nous bouscule. »
« Vous arrivez devant la nature avec des théories, la nature flanque tout par terre. »
« Au mois d'août, n'ôte ta flanelle - Qu'en cas de chaleur torrentielle! »
« Ainsi disant, je marchais à grands pas, le visage enflammé, le vent sifflant dans ma chevelure, ne sentant ni pluie ni frimas, enchanté, tourmenté, et comme possédé par le démon de mon coeur. »
« Ils tombent épuisés, la bataille était rude. - Près d'un fleuve, au hasard sur le dos, sur le flanc, - Ils gisent, engourdis par tant de lassitude - Qu'ils sont bien, dans la boue et dans leur propre sang. »
« Certes on n'a jamais rien vu de plus grand, majestueux, chaud, murmurant, soupirant, soufflant, fort, gracieux, élégant, érotique, puissant et féminin qu'une locomotive à vapeur. »
« Le statisticien ramasse les mégots des cigarettes fumées par le flâneur. »
« La flânerie est-elle une perte de temps ? »
« Le flâneur parisien est aussi souvent un homme au désespoir qu'un oisif. »
« On ne se débarrasse pas d'une habitude en la flanquant par la fenêtre ; il faut lui faire descendre l'escalier marche par marche. »
« L'homme est souvent décevant, mais parfois époustouflant. »
« Il importe peu qu'un homme pleure et flanche le jour où la vie lui casse la figure. Ce qui importe, c'est ce que cet homme fait le lendemain. »
« Ca me flanque la migraine rien qu'à m'abaisser à essayer de penser à votre niveau. »
« La flânerie est un passe-temps de pauvre ou un art de richissime. »