« Si je devais me suicider un jour, je me pendrais à un noyer, ce serait mon dernier jeu de mot. »
« Le lancement du poids, c'est la pétanque des costauds. »
« La vie que l'on recherche ressemble toujours à nous-mêmes. »
« Depuis qu'on calcule le temps olympique en millièmes de secondes, un type qui a un grand nez a plus de chances que les autres. »
« Le 1er janvier 1945 à Hiroshima, les gens s'étaient souhaité une bonne et heureuse année. »
« Un ver de huit pieds s'appelle octosyllabe. Le ver de douze pieds, lui, se nomme alexandrin. Et un verre à un pied, c'est un muscadet ! »
« Les petits renoncements de l'enfance préparent l'adolescent à repousser les tentations qui se dressent sur son chemin. L'oubli de soi ne s'apprend pas en un jour. »
« Dieu a créé l'homme. Et ensuite, pour le remercier, l'homme a créé Dieu. »
« J'ai un copain fakir, et l'autre jour on lui a piqué son porte-feuille... Il a rien senti ! »
« Se taire, c'est pareil dans toutes les langues. »
« Les choses moches, il vaut mieux les regarder par deux parce qu'il y en a toujours une qui est moins moche que l'autre. »
« Si je soulève des haltères, je me muscle les biceps, mais si je pense que je les soulève, je me muscle le cerveau. »
« Au fond quand on y pense, un type qui doit être vachement frustré, c'est le type qui a réalisé le plancher de la chapelle Sixtine... »
« L'artiste est un malade qui essaie de se soigner en créant, mais plus il se soigne, plus il est malade. Et plus il est malade, plus il est content, vu qu'il n'a aucune envie de guérir. »