« Les petits renoncements de l'enfance préparent l'adolescent à repousser les tentations qui se dressent sur son chemin. L'oubli de soi ne s'apprend pas en un jour. »
« Rien ne commence dans l'enfance, même si l'on se berce de premières fois. Tout a déjà pris racine avant, sans qu'on s'en aperçoive. »
« Les écrivains écrivent peut-être pour cautériser à l'aide de mots les silences inconcevables et insupportables de l'enfance. »
« Il reste toujours quelque chose de l'enfance, toujours... »
« Le sens de la vie personnelle est de retourner à l'enfance, ou plutôt de faire apparaître à nouveau l'enfant qui jamais n'a disparu. »
« Grandir, c'est s'apercevoir que ses parents ne sont pas indispensables. »
« L'enfance ne se vit pas dans l'action mais dans quelque chose de plus subtil, qu'on appelle l'innocence à défaut de pouvoir la mieux nommer. »
« L'angoisse de l'écrivain, c'est de se retrouver vers l'oeuvre dépassée. Et pourtant d'y tenir comme à son être le plus intime, comme à son enfance même. »
« L'enfance est courte, la maturité infinie. »
« On peut grandir, et même vieillir, mais pour sa maman on est toujours un petit enfant. »
« Le besoin d'affabulation, c'est toujours un enfant qui refuse de grandir. »
« Les quatre âges de l'homme sont : la petite enfance, l'enfance, l'adolescence, l'obsolescence. »
« Les blessures se cicatrisent, mais les cicatrices continuent de grandir avec nous. »
« Le sommeil de l'enfance s'achève en oubli. »