« Je vis, je meurs: je me brule et me noie, - J'ai chaud extrême en endurant froidure; - La vie m'est et trop molle et trop dure, - J'ai grands ennuis entremélés de joie. »
« Si le papillon s'est brûlé à la lumière, la lumière a connu les ailes du papillon et les a aimées. »
« Je perds mes dents. Je meurs en détail. »
« Je meurs en adorant dieu, en aimant mes amis, en ne détestant pas mes ennemis, en haissant la superstition. »
« Si j'avance, suivez-moi !Si je recule, tuez-moi !Et si je meurs, vengez-moi ! »
« Si tu avances, tu meurs ! Si tu recules, tu meurs ! Alors, pourquoi reculer ? »
« On ne devrait jamais jouer avec les sentiments ; on y brûle sa vie, le peu de sa vie que l'on emmagasine au fond de soi. »
« La solitude est comme le feu : on s'approche et l'on se réchauffe ; on s'approche un peu plus et l'on se brûle. »
« Le Temps n'a d'autre fonction que de se consumer : il brûle sans laisser de cendres. »
« Un feu qui brûle en éteint un autre ; une douleur est amoindrie par la vivacité d'une autre douleur. »
« A force d'entendre parler de moi, je meurs d'envie de me connaître. »
« Que souhaite celui dont la maison a brûlé ?Que brûle à son tour le monde tout entier. »
« Celui qui s'est brûlé en mangeant trop chaud, souffle même sur un morceau froid. »
« Celui qui se noie s'accroche à toutes les barques. »