« Il faut quelquefois se promener au fond de l'abîme. Même si je descends jusqu'en enfer, le bras de Dieu est assez long pour m'en retirer. »
« Vous connaissez les femmes, la fidélité elles croient que ça signifie quelque chose... »
« Il y a bien autre chose derrière la sexualité. Le corps a une ombre, l'âme a la sienne, on la connaît très mal. »
« La récompense des livres, c'est d'être lus. »
« Il faut sauver l'espérance. C'est le grand problème de ce siècle. »
« Si Dieu cessait de pardonner une seconde, notre terre volerait en éclats. »
« Rien ne ressemble plus à des vies ratées que certaines réussites. »
« Il me paraît certain que l'aboutissement normal de l'érotisme est l'assassinat. »
« Il faut dire oui à sa liberté, mais tout dépend de ce que l'on imagine dans sa liberté. »
« Un journal est une longue lettre que l'auteur s'écrit à lui-même, et le plus étonnant est qu'il se donne à lui-même de ses propres nouvelles. »
« Et si je chute, continue-t-il, je me relève et je vais quand même vers le Seigneur. »
« Dans le langage des jardiniers, les plantes crèvent, mais les roses meurent. »
« Tout est femme dans ce qu'on aime ; l'empire de l'amour ne connaît d'autres bornes que celles du plaisir. »
« Le plaisir tue en nous quelque chose. »