« Les vieilles histoires : elles ressemblent à des roses fanées qui s'effeuillent au moindre contact. »
« Dans le langage des jardiniers, les plantes crèvent, mais les roses meurent. »
« Celui qui ajoute du vert au printemps, des roses à l'automne, du pourpre à de jeunes lèvres, crée de la laideur parce qu'il ment. »
« La rose n'a d'épines que pour celui qui veut la cueillir. »
« Nous ressemblons tous à des eaux courantes... Nos années se poussent comme des flots : ils ne cessent de s'écouler. »
« Les danses s'établissent sur la poussière des morts, et les tombeaux poussent sous les pas de la joie. »
« La solitude est un jardin où l'âme se dessèche, les fleurs qui y poussent n'ont pas de parfum. »
« Le gémissement est un cri plaintif que poussent les hommes quand ils souffrent, et les femmes quand elles ont du plaisir. »
« Celui qui a noué les liens de l'amour a disposé les épines. »
« Un homme peut prouver à sa femme qu'il l'aime en lui offrant une douzaine de roses. Son petit-fils peut faire la même chose, avec une poignée de pissenlits. »
« Je suis un homme mort depuis plusieurs années; - Mes os sont recouverts par les roses fanées. »
« Des roses d'automnes, des roses charmantes et tristes... »
« Les hommes politiques poussent sur le fumier humain. »
« L'opposition est une très mauvaise école de gouvernement, et les politiques avisés, qui se poussent par ce moyen aux affaires, ont grand soin de gouverner par des maximes tout à fait opposés à celles qu'ils professaient auparavant. »