« Oh! La muse se doit aux peuples sans défense - J'oublie alors l'amour, la famille, l'enfance, - Et les molles chansons et le loisir serein, - Et j'ajoute à ma lyre une corde d'airain! »
« O Ninette! où sont-ils, belle muse adorée, - Ces accents pleins d'amour, de charme et de terreur... »
« ... L'amour ne se trouve que dans la liberté, et ce n'est qu'en elle qu'il y a de la récréation et de l'amusement éternel. »
« Je m'en allais, les poings dans mes poches crevées; - Mon paletot aussi devenait idéal; - J'allais sous le ciel, Muse! et j'étais ton féal; - Oh! là! là! que d'amours splendides j'ai rêvées! »