« Donnez-moi quarante trous du cul et je vous fais une Académie française. »
« Quarante ans, l'âge des belles sciences, de la connaissance des gestes. »
« Ce qui est terrible dans la mort, ce n'est pas d'en être vaincu, mais de lutter. »
« Par moments, dans l'humanité, une certaine sublimité de la femme apparaît ; aux heures où l'histoire devient terrible, on dirait que l'âme de la femme saisit l'occasion et veut donner l'exemple à l'âme de l'homme. »
« Dieu est pour le bien des hommes à quelques conditions : qu'on l'honore, qu'on le prie, qu'on lui fasse des sacrifices. Sinon, Dieu devient terrible ! Il te fait le déluge, l'exil, la guerre, la sécheresse, la foudre, au choix. »
« A quarante ans, l'homme ne sait plus que travailler. Travailler, c'est marcher vers soi-même. »
« Ce n'est rien de vieillir mais le terrible est que l'on reste jeune. »
« Le plus terrible, ce n'est pas le chagrin, c'est la diligence qu'on met à l'oublier. »
« La mort semble bien moins terrible, quand on est fatigué. »
« Mes parents avaient vécu quarante ans ensemble, mais par pure animosité. »
« Ecrire des vers à vingt ans, c'est avoir vingt ans. En écrire à quarante, c'est être poète. »
« La mort. Que ce mot, si court, est insondable et terrible ! »
« A vingt ans, la femme n'a pas les yeux dans sa poche. A quarante ans, elle a les yeux dans vos poches. A soixante ans, elle a des poches sous les yeux. »
« Attendre est encore une occupation. C'est ne rien attendre qui est terrible. »