« Qu'es-tu donc, toi qui m'aimes ? Le miroir où je me regarde ou l'abîme où je me perds ? »
« Quand il y a le silence des mots, se réveille trop souvent la violence des maux. »
« En réalité, nous ne savons plus rien, nous ne sommes plus sûrs de rien. Lorsqu'on regarde les oeuvres des anciens, on n'a vraiment pas à faire les malins. »
« L'amour trouve trop difficile de pardonner le moindre manquement à l'amour. »
« Vivre, c'est naître lentement. Il serait un peu trop aisé d'emprunter des âmes toutes faites ! »
« La vie est trop courte pour travailler triste. »
« La fatalité veut que l'on prenne toujours les bonnes résolutions trop tard. »
« L'amitié peut être muette, et le doit être presque toujours. L'amour au contraire doit être éloquent et l'on ne peut jamais trop dire qu'on aime. »
« On a beau donner à manger au loup, toujours il regarde du côté de la forêt. »
« La vie est trop courte pour se tuer ; ce n'est pas la peine de s'impatienter. »
« J'ai trop pensé pour daigner agir. »
« Tout le monde fait des bêtises. Le fin du fin, c'est de les faire au moment où personne ne regarde. »
« Quand je regarde mon écriture, il me semble qu'une légion de fourmis est sortie de l'encrier et a traversé la feuille sans s'essuyer les pieds. »
« Aujourd'hui, on prend un parapluie parce que la télé a dit qu'il allait pleuvoir. Autrefois, on aurait regardé le ciel. »