« Il n'est pas de détresse pour celui qui a terminé son voyage, qui a abandonné tout souci, qui s'est libéré de toutes parts, qui a rejeté tous ses biens. »
« Les vraies détresses sont calmes. »
« L'homme ne fait que se poursuivre dans ce qu'il fait. Il n'est indispensable qu'à lui-même. Il n'est pas sensible à la détresse de l'humanité, il n'est sensible qu'à la sienne. »
« Les maîtresses s'en vont au hasard des amours, Une femme s'en vient au détour d'une vie. »
« L'amour a des tendresses que nous n'apprenons point qu'auprès de nos maîtresses. »
« Un homme de lettres peut avoir une maîtresse qui fasse des livres ; mais il faut que sa femme fasse des chemises. »
« Il peut être vrai que la fortune est maîtresse de la moitié de nos oeuvres, mais elle nous en laisse aussi gouverner l'autre moitié. »
« Une maîtresse est ce qu'on aime le plus ; une femme ce qu'on aime le mieux ; une mère ce qu'on aime toujours. »
« Je dois tout à mon père avant qu'à ma maîtresse :Que je meure au combat, ou meure de tristesse,Je rendrai mon sang pur comme je l'ai reçu. »
« La détresse humaine nous consacre dans cette communauté humaine. Il est impossible de nous isoler des hommes. »
« Il y a quelque chose d'incestueux dans le fait de faire l'amour à la mère de ses enfants. C'est peut-être pour ça que les hommes ont des maîtresses. »
« Avouez à votre maîtresse que vous ne pouvez vivre sans elle, elle n'aura de cesse que d'en avoir tenté l'expérience. »
« Au moins, quand il est avec sa maîtresse, c'est elle qui est obligée de regarder le foot ! »
« Qu'est-ce que ça peut fiche qu'il ait une jolie femme! Entre hommes, on ne se complimente que sur ses maîtresses. »