« Si nous ne voulons pas être une société de moutons domesticables et manipulables par toutes les formes de pouvoir, y compris celui de la science, il faut défendre la littérature. »
« Le clonage c'est idiot, il faut laisser faire la nature: si on ne passe pas l'aspirateur sous le lit, les moutons se reproduisent tous seuls! »
« Quand on a le malheur d'être dans un pays de persécution et de servitude, au milieu d'une nation esclave et moutonnière, on est bien heureux qu'il y ait, dans un pays libre, des philosophes qui puissent élever la voix. »
« Le chercheur qui a mis au point des clones de moutons s'est finalement endormi. »
« Il y a deux sortes de bergers parmi les pasteurs des peuples : ceux qui s'intéressent à la laine et ceux qui s'intéressent aux gigots. Aucun ne s'intéresse aux moutons. »
« On compte plus facilement ses moutons que ses amis. »
« Il est moins dangereux pour un berger de garder des moutons maigres que pour un roi d'avoir des sujets faméliques. »
« Il est de l'intérêt du loup que les moutons soient gras et nombreux. »
« Les moutons ont quand même cet avantage sur l'homme qu'on les conduit à l'abattoir sans leur parler patriotisme ou promesse d'un monde meilleur. »
« Les grands talents sont, pour l'ordinaire, plus rivaux qu'amis ; ils croissent et brillent séparés, de peur de se faire ombrage : les moutons s'attroupent et les lions s'isolent. »
« Il y a deux sortes de bergers parmi les pasteurs de peuples : ceux qui s'intéressent au gigot et ceux qui s'intéressent à la laine. Aucun ne s'intéresse aux moutons. »
« Vous savez pourquoi on trouve toujours de la laine vierge? C'est parce que les moutons courent plus vite que les bergers. »
« O toison, moutonnant jusque sur l'encolure! - O boucles! O parfum chargé de nonchaloir! - Extase! Pour peupler ce soir l'alcôve obscure - Des souvenirs dormant dans cette chevelure, - Je la veux agiter dans l'air comme un mouchoir! »
« Au delà, confusément, le long du carreau, des amoncellements vagues moutonnaient. Au milieu de la chaussée, de grands profils grisâtres de tombereaux barraient la rue... »