« L'amour c'est comme un papillon, il est hors de portée quand on le chasse ; mais si on le laisse tranquille, il peut très bien venir se poser sur notre épaule. »
« Il faut être toujours ivre. Pour ne pas sentir l'horrible fardeau du temps qui brise vos épaules, il faut s'enivrer sans trêve. De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. Mais enivrez-vous ! »
« Ah, vous autres, hommes faibles et merveilleux qui mettez tant de grâce à vous retirer du jeu ! Il faut qu'une main, posée sur votre épaule, vous pousse vers la vie... »
« Si ton ennemi est dans l'eau jusqu'à la ceinture, tends-lui la main ; si l'eau lui monte aux épaules, appuie sur sa tête. »
« La mort n'est pas derrière les montagnes, elle est derrière nos épaules. »
« Les femmes éprouvent de l'attirance pour les hommes qui se féminisent. Je peux poser ma tête sur l'épaule d'une femme et lui demander de me rassurer. »
« En attendant, je vais pousser, comme je pourrai, le temps avec l'épaule jusqu'au printemps, où j'irai revoir... »
« Il a fallu que l'intelligence de l'homme fût obscurcie par l'amour pour qu'il ait appelé beau ce sexe de petite taille, aux épaules étroites, aux larges hanches et aux jambes courtes. »
« Je n'ai jamais pu voir les épaules d'une jeune femme sans songer à fonder une famille. »
« S'adapter : changer son fusil d'épaule. »
« Tout homme porte sur l'épaule gauche un singe et, sur l'épaule droite, un perroquet. »
« La charge que soutiennent nos épaules doit être moins lourde que facile à porter. »
« On peut avoir la tête bien sur les épaules tout en restant dans les nuages. »
« Le fardeau est léger sur l'épaule d'autrui. »