« Aujourd'hui rien d'extraordinaire, rien que le train-train du merveilleux... »
« Ce que nous appelons notre volonté, ce sont les fils qui font marcher la marionnette, et que Dieu tire. »
« Les hommes et les femmes ne se réunissent au théâtre que pour entendre parler de l'amour, et pour prendre part aux douleurs et aux joies qu'il cause. Tous les autres intérêts de l'humanité restent à la porte. »
« Comment ne pas fermer les yeux quand la bouche fond de plaisir ? »
« La femme est la dernière chose que Dieu a faite. Il a dû la faire le samedi soir. On sent la fatigue. »
« Nul ne sait ce qu'est la guerre, s'il n'y a son fils. »
« Quand on tombe, on ne tombe jamais bien. »
« La passé nous pétrit et nous domine. Le présent est comme le fil de l'épée sur lequel il est impossible de tenir debout, et l'avenir n'intéresse que les impuissants. »
« Je suis fils de l'homme et de la femme, d'après ce qu'on m'a dit. Ca m'étonne... Je croyais être d'avantage. »
« Pleurer est aussi un signe d'enfance. Et c'est en suivant le fil fragile de l'enfance que Dieu s'insinue le mieux en l'homme. »
« Une illusion de moins, c'est une vérité en plus. »
« Il y a plus d'honnêtes femmes qu'on le croit, mais pas tant qu'on le dit. »
« C'est ainsi, on ne tire pas sur son passé. Selon qu'on est le fils d'un garde-barrière ou d'une duchesse, quand on se penche sur l'histoire qu'on a vécue, on entend siffler des trains ou sonner des cors de chasse ! »
« Il n'y a pas de vrai bonheur que celui que personne ne connaît. »