« La condition des pauvres donne moins d'inquiétude que celle des riches. Ceux-ci doivent craindre, au lieu que les autres n'ont qu'à espérer. »
« Les larmes qui coulent sont amères, mais plus amères celles qui ne coulent pas. »
« La mère: - - Tu me feras mourir de chagrin. - - Le fils: - - Eh bien tant mieux! - Comme ça on ne retrouvera pas l'arme du crime! »
« Journal : le besoin de consigner toutes les réflexions amères, par l'étrange peur qu'on arriverait un jour à ne plus être triste... »
« Choisis d'entrer dans la mer par les petits ruisseaux. »
« Nous paraissons toujours courageux quand tout nous vient à souhait, mais le moindre déplaisir nous fait voir ce qui nous sommes. »
« On oublie souvent que la mer, avant tout, n'a pas d'âge ; sa force réside en cela. »
« Cajoler les mères pour obtenir les filles. »
« Heureuse la femme qui épouse un homme qui n'a point de mère ! »
« A 40 ans, les Parisiennes anéantissent le reste du monde. Elles ont trouvé leur coiffure, leur silhouette, leur couturier, leur ton et elles mènent la chasse à l'homme où les autres encombrent le rayon mémère. »
« Le cinéma, c'est comme un père, ça fait rêver. Le théâtre, c'est comme une mère, on y revient toujours... »
« Il était normand par sa mère et breton par un ami de son père. »
« Oui, vous me voyez dans une position bien affligeante pour une jeune fille: j'ai perdu mon père et ma mère... »
« Par la mère apprenant que son fils est guéri - Par l'oiseau rappelant l'oiseau tombé du nid - Par l'herbe qui a soif et recueille l'ondée - Par le baiser perdu, par l'amour redonné - Et par le mendiant retrouvant sa monnaie - Je vous salue Marie. »