« Je vous dénonce la misère, cette longue agonie du pauvre qui se termine par la mort du riche.Législateurs, la misère est la plus implacable des lois. »
« Lorsque les trains déraillent, ce qui me fait de la peine, ce sont les morts de première classe. »
« La mort est un état de non-existence. Ce qui n'est pas n'existe pas. Donc la mort n'existe pas. »
« Comme les musées, les bibliothèques sont un refuge contre le vieillissement, la maladie, la mort. »
« Lorsqu'on condamne un rebelle à mort, c'est tout un clan qu'il faut savoir faire disparaître pour avoir la paix dans le pays. »
« Qu'il est difficile d'être oublié ! Pendant des années, parfois pendant des siècles, les écrits témoins ne cessent de surgir. Comme les villes mortes sortent des sables, les paquets de lettres jaunies émergent des coffrets. »
« N'allez jamais chez un docteur dont les plantes de la salle d'attente sont mortes. »
« Nous mourons avec un préavis. Le préavis, c'est notre vie. »
« Vivre, c'est naître sans cesse. La mort n'est qu'une ultime naissance, le linceul notre dernier lange. »
« Ce qui me turlupine, c'est d'être mis en bière sans alcool... Surtout en cas de mort subite ! »
« Pourquoi serait-il plus difficile de mourir, c'est-à-dire de passer de la vie à la mort, que de naître, c'est-à-dire de passer de la mort à la vie ? »
« Le suicide, c'est l'ultime expression de la liberté. De savoir que l'on peut choisir sa mort, ça aide à vivre. »
« Massoud est mort, Mais pas l'espoir ! »
« Si Louis XVI eût aboli la peine de mort, comme il avait aboli la torture, sa tête ne serait pas tombée. »