« Je n'ai jamais cherché que cela en écrivant : communiquer avec les autres. »
« On se supprime pour montrer à tous qu'on n'est décidément plus capable du moindre accommodement avec la vie. »
« Vis donc, mon bonhomme, et après tu pourras toujours parler de ce que tu as vécu. »
« C'est en faisant semblant d'être écrivain qu'on le devient vraiment. »
« La réputation qu'on nous prête ne change rien à ce que nous sommes en réalité. Voilà pourquoi il faut mépriser les jugements plus ou moins faux que l'on porte sur nous. »
« Un seul être suffit quand il faut tout donner. »
« Si tous les parents choisissaient les noms de leurs enfants avec soin, le monde en serait changé. Un nom, c'est la moitié de la personnalité. »
« L'amour ne se commande pas : n'aime point qui veut et le cœur ne se fixe pas toujours où il devrait. »
« Une promesse de femme, c'est comme une corde tendue ; ça ne tient pas longtemps. »
« Quand on a affaire à la justice, il faut s'armer de patience. »
« Si le Christ avait pu prévoir ce qu'on lui ferait dire après son départ, il n'aurait jamais osé parler en paraboles. »
« Les femmes sont toutes pareilles. Toujours prêtes à aller au bout du monde pour un homme. »
« En amour comme en autre chose, il faut se soumettre. La passion du cœur, c'est une chose que tu peux conduire mais que tu ne peux empêcher d'être, à certains moments. »
« Le temps peut causer de grands ravages, multiplier les ruines, anéantir les splendeurs architecturales, jamais il ne parviendra à détruire chez l'homme, quel que soit son âge, la conscience du beau. »