« Il n'y a pas de pipe qui vaille celle que l'on fume après une bonne journée de marche. »
« Ce dessin m'a pris cinq minutes, mais j'ai mis soixante ans pour y arriver. »
« Embrasser une femme qui fume, c'est comme lécher un cendrier ! »
« Le dessin exprime des sentiments bien plus forts que des mots. »
« Il ne faut pas peindre ce qu'on voit, il faut peindre ce qu'on sent. La ligne du dessin doit toujours être un peu la ligne du cœur... Prolongée. »
« Être drôle avec un dessin réaliste, c'est pratiquement impossible. »
« On est une pipe qui s'allume, fume, puis s'éteint. Derrière elle ? De la fumée. Rien de plus. »
« On ne peut jamais raconter un bon dessin, encore moins quand il est drôle. »
« Tout homme a, a eu ou aura besoin d'un dessin pour faire passer son message. »
« La photographie, c'est mieux qu'un dessin, mais il ne faut pas le dire. »
« En fumant, vous abrégez votre vie, me dit-on. Je fume depuis l'âge de dix-huit ans, j'en ai soixante-cinq, si je n'avais pas fumé, j'en aurais soixante-dix. Je serais bien avancé ! »
« Publier un dessin dans un journal, c'est comme monter sur scène. »
« Le fait de fumer m'a sauvé la vie. Chaque fois que je vais mal, le médecin me supprime le cigare. Et je guéris ! Où en serais-je si je n'avais pas fumé le cigare. »
« On rêve d'un idéal, on le prie, on l'appelle, on le guette, et puis le jour où il se dessine, on découvre la peur de le vivre, celle de ne pas être à la hauteur de ses propres rêves, celle encore de les marier à une réalité dont on devient responsable. »