« L'égout c'est la conscience de la ville. Tout y converge et s'y confronte. Dans ce lieu livide, il y a les ténèbres, mais il n'y a plus de secrets.... Le tas d'ordures a cela pour lui qu'il n'est pas menteur. »
« Le triomphe appartient à l'homme courageux qui croit et espère ; sa postérité devient amie et maîtresse des temps à venir. »
« C'est dans le feu que le fer se trempe et devient acier. C'est dans la douleur que l'homme trouve la révélation de sa force. »
« Les grands hommes se passionnent pour les petites choses, quand les grandes viennent à leur manquer. »
« Choisir c'est renoncer. Qu'il est difficile et terrifiant de renoncer. »
« La vie est une larme qui coule sur la peau et qui s'en va mourir, épuisée, sur le sol de la destinée. »
« Cette même égalité qui rend l'individu indépendant de chacun de ses concitoyens en particulier le livre isolé et sans défense à l'action du plus grand nombre. »
« En politique, la communauté des haines fait presque toujours le fond des amitiés. »
« Le moment le plus dangereux pour un mauvais gouvernement est d'ordinaire celui où il commence à se réformer. »
« Dans les démocraties, chaque génération est un peuple nouveau. »
« Dans une guerre, quel que soit le camp qui puisse se déclarer vainqueur, il n'y a pas de gagnants, il n'y a que des perdants. »
« De quel droit a-t-on décidé que les gens pauvres seraient aussi modestes ? »
« Partir, c'est mourir un peu. Ecrire, c'est vivre davantage. »
« La nationalisme est une attitude de défense, rendue nécessaire par la faiblesse de l'Etat. »