« Le théâtre, c'est un petit peu comme les rêves : ça n'a pas de sens. »
« Douze ans. C'est le bel âge, celui de la fabulation, des mythes et des rêves. »
« Un adulte c'est un enfant qui a réalisé ses rêves. »
« Certains hommes ne créent aucune frontière à leurs rêves ; cela s'appelle la liberté. »
« Nous sommes faits de l'étoffe de nos rêves. »
« Il faut accomplir nos rêves, autrement on se fane et on meurt. »
« Oh, le beau triomphe que de casser l'aile au rêves ! »
« Ce qu'un homme a de plus indécent à montrer : ses rêves. »
« L'aube interrompt souvent les rêves les plus beaux qu'on fait à son sujet. »
« Ce qu'on dit dans les rêves pourrait être utilisé afin de contribuer un peu à l'évolution du roman. »
« On ne renonce pas à ses rêves, on les modifie seulement. »
« La jalousie, passion éminemment crédule, soupçonneuse, est celle où la fantaisie a le plus d'action ; mais elle ne donne pas d'esprit ; elle en ôte. »
« C'est un drôle de pays, la France, où les négociations ont toujours lieu après le déclenchement des grèves et non avant. »
« Les chiens sont, en tant qu'espèce, éminemment méprisables, aussi bien pour l'écœurante banalité de leur affection que pour leur extraordinaire faculté de caporalisation. »