« L'humanité a un destin étoilé qu'il serait bien dommage de perdre sous le fardeau de la folie juvénile et des superstitions infondées. »
« Souvent les gens prennent leurs propres lacunes pour celles de la société qui les entoure, et cherchent à réformer ladite société parce qu'ils sont incapables de se réformer eux-mêmes. »
« ... La flatterie est une arme précieuse quand on a affaire à des jeunes; surtout quand cela ne vous engage à rien. »
« Il est parfois utile de dire carrément ce qu'on pense, surtout si l'on a la réputation d'être retors. »
« Les choses changent. Mais si vite... Est-ce que les habitudes des hommes pourront suivre ? »
« Je considère en tout cas la violence comme une moyen peu économique de parvenir à ses fins. Il y a toujours de meilleures méthodes, encore qu'elles soient parfois moins directes. »
« Pour convaincre, la vérité ne peut suffire. »
« Dans ma fiction je suis attentif à ce que tout soit plausible et à raccorder les morceaux. La vie réelle n'est pas gênée par de telles considérations. »
« Rien dans l'univers n'est aussi intéressant qu'une autre forme de vie intelligente... Ni aussi dangereux. Il vaudrait mieux être au courant. »
« La vie est agréable. La mort est paisible. C'est la transition qui est désagréable. »
« Si Dieu nous prend un à un nos amis, c'est pour faire d'eux les étoiles de notre espérance et de notre ciel. »
« Sans l'incertitude l'aventure n'existerait pas. »
« Marcher comme une feuille morte tombée de l'arbre que le vent emporte, sans savoir si c'est le vent qui vous porte ou si vous portez le vent... »
« C'est l'homme tout entier qui est conditionné au comportement productif par l'organisation du travail, et hors de l'usine il garde la même peau et la même tête. Dépersonnalisé au travail, il demeurera dépersonnalisé chez lui. »