« En marchant, les femmes peuvent tout : montrer ou ne rien laisser voir. Otez la jupe à une femme, adieu la coquetterie, plus de passion. »
« Entre deux individus, l'harmonie n'est jamais donnée, elle doit indéfiniment se conquérir. »
« Il est peu de vertus plus tristes que la résignation ; elle transforme en fantasmes, rêveries contingentes, des projets qui s'étaient d'abord constitués comme volonté et comme liberté. »
« La réputation qu'on nous prête ne change rien à ce que nous sommes en réalité. Voilà pourquoi il faut mépriser les jugements plus ou moins faux que l'on porte sur nous. »
« Un seul être suffit quand il faut tout donner. »
« Si tous les parents choisissaient les noms de leurs enfants avec soin, le monde en serait changé. Un nom, c'est la moitié de la personnalité. »
« L'amour ne se commande pas : n'aime point qui veut et le cœur ne se fixe pas toujours où il devrait. »
« Le mariage multiplie par deux les obligations familiales et toutes les corvées sociales. »
« La raison souvent n'éclaire que les naufrages. »
« Consulter, c'est demander à quelqu'un d'être de notre avis. »
« Une promesse de femme, c'est comme une corde tendue ; ça ne tient pas longtemps. »
« La persévérance est la noblesse de l'obstination. »
« Si l'on vit assez longtemps, on voit que toute victoire se change un jour en défaite. »
« Quand on a affaire à la justice, il faut s'armer de patience. »