« L'enfance. L'âge de la vie où tout semble possible, où on imagine qu'il suffira de vouloir changer son destin. »
« La violence, c'est un manque de vocabulaire. »
« C'est l'inconnu qui m'attire. Quand je vois un écheveau bien enchevêtré, je me dis qu'il serait bien de trouver un fil conducteur. »
« Voyager est un travail qu'on fait tout seul. »
« Une vie sans femme. Il n'y a pas de meilleur moyen pour devenir fou. »
« Les quinquagénaires sont des impatients. Comme si l'approche de la vieillesse nous donnait des ailes. Des ailes qui ne procurent pas l'assurance de voler bien haut. »
« L'âge entraîne une raréfaction des liens aux autres, puisque des compagnons disparaissent, alors que l'aptitude à contracter de nouveaux liens, d'autres amitiés, diminue. La vieillesse est seule. »
« La rumeur publique est plus forte que toutes les puissances de ce monde. »
« Un mur où on a mis la main soi-même nous en apprend plus long sur la liberté de l'homme que tous les philosophes. »
« Les notaires c'est comme les avocats, moins t'en vois, plus t'as d'quoi. »
« Il faut croire à la vie avant de croire en Dieu ; accepter tous les risques de la liberté pour oser le pari de la foi. Elle n'est rien si elle n'inclut la possibilité, à chaque instant éprouvée, de ne pas croire. »
« Se faire remarquer, se faire admirer. De là, à se faire aimer, il n'y a qu'un pas. »
« L'intérêt pour le football n'est le critère de rien, ni d'une distinction sociale, ni d'une discrimination intellectuelle. »
« Le plus précieux de l'aventure n'était-il pas, tout compte fait, la promesse de joies possibles, le désir non encore assouvi ? »