« Il est des choses que les mots ne peuvent expliquer. Il faut les absorber sans l'aide des mots. »
« Le sang attire le sang. »
« Le mépris à notre égard de ce que nous méprisons nous est miel. »
« C'est une grande force pour une phrase que le fait de sentir ou de ne pas sentir un homme derrière elle. »
« La familiarité engendre le mépris... Et les enfants. »
« Le mathématicien est à la recherche de quelque chose qui n'existe pas mais qu'il doit néanmoins expliquer à quelques collègues. »
« Les hommes ont mépris pour la religion. Ils en ont haine et peur qu'elle soit vraie. »
« Je ne puis pas encore m'expliquer aujourd'hui, à cinquante-deux ans, la disposition au malheur que me donne le dimanche. »
« L'imaginaire porte en lui un mépris de la réalité. »
« C'est de ne pas mépriser assez certaines gens que de dire tout haut qu'on les méprise. Le silence seul est le souverain mépris. »
« Comme sa gamme est plus riche, le malheur nous attire plus que le bonheur. »
« A notre époque, le mépris des proverbes, c'est le commencement de la fortune. »
« La moquerie est le langage du mépris, et l'une des manières dont il se fait le mieux entendre : elle attaque l'homme dans son dernier retranchement, qui est l'opinion qu'il a de lui-même. »
« Le mépris de la sensation est un parricide pour la pensée. »