« Dans les années cinquante, on se réunissait en famille pour regarder la radio. Aujourd'hui, l'image est tellement banalisée qu'on écoute la télé. »
« N'est pas cocu qui veut. Si tu l'es, ta femme sera belle, tu seras bien traité d'elle, tu auras beaucoup d'amis, ton bien s'accroîtra. »
« Vous ne résoudrez peut-être pas tous vos problèmes en adoptant une attitude positive, mais vous agacerez tellement de gens que cela en vaudra la peine. »
« Le bonheur c'est tellement plus léger à porter qu'une existence raisonnable et convenable. »
« J'adore ma belle-mère. Je l'aime tellement que je l'emmène partout avec moi. Mais elle retrouve toujours la maison... »
« Quand on s'est connus, ma femme et moi, on était tellement timides tous les deux qu'on n'osait pas se regarder. Maintenant, on ne peut plus se voir ! »
« J'ai connu un type qui était tellement radin qu'il avait engagé une bonne aveugle... Pour économiser de l'électricité ! »
« Tout homme marié est en danger d'être cocu. Cocuage est naturellement des apanages du mariage. »
« Une secrétaire est une employée à qui il arrive de se dévouer tellement pour son patron qu'elle est souvent sur les genoux. »
« Les villes devraient être bâties à la campagne : l'air y est tellement plus pur. »
« De tous les exercices, l'homosexualité est le plus sain. Presque tout se passe en plein air... Et il faut tellement marcher ! »
« Un cocu ? Un entier qui partage sa moitié avec un tiers. »
« J'ai tellement besoin de temps pour ne rien faire, qu'il ne m'en reste plus assez pour travailler. »
« La défaite est tellement plus intelligente. On pourrait passer sa vie à la méditer. C'est auprès d'elle que l'on puise ses vraies ressources, que l'on sublime ses revanches. Que faire de cette défaite ? »