« La nature apprend à l'homme à nager lorsqu'elle fait couler son bateau. »
« Méfiez-vous des gens dont on dit qu'ils ont le cœur sur la main. Comme ce n'est pas sa place, demandez-vous ce qu'ils peuvent bien avoir à la place du cœur. »
« Chacun de nous a son passé renfermé en lui comme les pages d'un vieux livre qu'il connaît par cœur, mais dont ses amis pourront seulement lire le titre. »
« On dit que l'argent ne fait pas le bonheur. Peut-être, mais il vous permet en tout cas de choisir le genre de misère que vous préférez. »
« Personne ne sait encore si tout ne vit que pour mourir ou ne meurt que pour renaître. »
« Vous savez, l'amour et l'amitié, ça marche avec l'admiration. »
« Sachez vous éloigner car, lorsque vous reviendrez à votre travail, votre jugement sera plus sûr. »
« Ne laissez personne venir à vous et repartir sans être plus heureux. »
« Une passion naissante et combattue éclate ; un amour satisfait sait se cacher. »
« Sous l'avalanche ininterrompue d'informations insignifiantes, plus personne ne sait où puiser les informations intéressantes. »
« Le fanatisme est aveugle, il rend sourd et aveugle. Le fanatique ne se pose pas de questions, il ne connaît pas le doute : il sait, il pense qu'il sait. »
« Connaissez-vous beaucoup d'hommes qui attribuent leurs échecs à leur incapacité ? »
« Non, si vous voulez rendre la religion chrétienne aimable, ne parlez jamais de martyrs ; nous en avons fait cent fois plus que les païens. »
« On devrait toujours se voir comme des gens qui vont mourir le lendemain. C'est ce temps qu'on croit avoir devant soi qui vous tue. »