« Ecoute bûcheron, arrête un peu le bras !Ce ne sont pas des bois que tu jettes à bas ;Ne vois-tu pas le sang, lequel dégoûte à force,Des Nymphes qui vivaient dessous la dure écorce. »
« Tu jettes le bonheur avec la main, tu ramasses le malheur avec tes deux pieds. »
« Si tu te jettes dans un puit, l'heureuse providence n'est pas tenue de venir t'y chercher. »
« Ecoute, bûcheron, arrête un peu le bras! - Ce ne sont pas des bois que tu jettes à bas; - Ne vois-tu pas le sang, lequel dégoutte à force - Des nymphes qui vivraient dessous la dure écorce? »
« Ce que tu jettes aujourd'hui avec le pied, tu le ramasses demain avec la main. »
« Tu projettes ton énergie vitale quand tu te sens bien et quand tu aimes, tu la rétractes vers le centre de ton corps quand tu as peur. »
« Les vertus sont sujettes à des vices particuliers qui les rendent inutiles. »
« Je ne suis point d'opinion... Qu'on doive s'exempter d'avoir des passions; il suffit qu'on les rende sujettes à la raison, et lorsqu'on les a ainsi apprivoisées, elles sont quelquefois d'autant plus utiles qu'elles penchent plus vers l'excès. »
« Les bonnes maximes sont sujettes à devenir triviales. »