« La paresse mène où elle veut bien. »
« La mort est le regret de la vie. »
« L'apparente immobilité d'un livre nous leurre : chaque livre est aussi la somme des malentendus dont il est l'occasion. »
« Tout ment en l'absence d'amour. »
« Je marche à l'aide des pieds, je philosophe à l'aide des sots. Même à l'aide des philosophes. »
« Il n'est pas un être qui ne sache, à force d'amour, devenir l'éblouissement de tous. »
« Je n'ai que l'amour pour me saisir dans mon être total, je n'ai que l'amour de Dieu pour saisir l'homme que je suis dans la promesse dont je suis l'accomplissement. »
« Le livre est un ami fidèle, discret, qui jamais ne dérange, jamais n'importune. »
« Ce qui m'oblige d'écrire, j'imagine, est la crainte de devenir fou. »
« Ne plaignez pas les malades ni les infirmes. Vous blesseriez votre âme avec des blessures qui n'ont entamé que leurs illusions. »
« Je ne supporte pas d'être moi, je m'invente. »
« L'instant qui ne m'apporte pas un enrichissement ouvre en moi une blessure. »
« La littérature, je l'ai, lentement, voulu montrer, c'est l'enfance enfin retrouvée. »
« La volupté excessive agrandit le cœur, le dévaste et l'oblige à la dureté. »