« Il est doux, quand sur la vaste mer les vents soulèvent les flots, d'apercevoir du rivage les périls d'autrui. »
« Lorsque le pélican, lassé d'un long voyage, - Dans les brouillards du soir retourne à ses roseaux, - Ses petits affamés courent sur le rivage - En le voyant au loin s'abattre sur les eaux. »
« J'aime fort les jardins qui sentent le sauvage, - J'aime le flot de l'eau qui gazouille au rivage. »
« Le rivage est plus sûr, mais j'aime me battre avec les flots. »
« Avec ta mère jusqu'au rivage ; avec ton époux, à travers l'océan. »
« Etrange l'homme sans rivage, près de la femme, riveraine. »
« Si on ne voit pas la France depuis le rivage, c'est qu'il pleut ; si on la voit, c'est qu'il va pleuvoir. »
« Il y a de grands profits à faire dans les voyages de mer ; mais pour éviter le danger, le plus sûr est de ne pas s'embarquer et de demeurer sur le rivage. »
« Les souvenirs sont façonnés par l'oubli comme les contours du rivage sur la mer. »
« Le temps est le rivage de l'esprit ; tout passe devant lui, et nous croyons que c'est lui qui passe. »
« Ne crie pas contre celui qui t'agresse, - Ne lui réponds pas toi-même. - Celui qui fait le mal, - Le rivage le rejette, - L'inondation l'emporte. »
« On ne peut découvrir de nouvelles contrées sans consentir à perdre le rivage de vue pendant très longtemps. »
« Prie Dieu et continue à ramer vers le rivage. »
« La plus grande illusion de l'homme est de croire que le temps passe. Le temps est le rivage; nous passons, il a l'air de marcher. »