« La notoriété, c'est comme de manger des cacahuètes : quand on commence, on ne peut plus s'arrêter. »
« Etant donné que les jupes raccourcissent et que les décolletés deviennent de plus en plus bas il n'y a qu'à attendre que les deux se rejoignent. »
« Une âme contemplative est à charge à tous les désoeuvrés remuants qui couvrent la terre : l'imagination et le recueillement sont deux maladies dont personne n'a pitié. »
« Il ne faut écrire qu'au moment où chaque fois que tu trempes ta plume dans l'encre un morceau de ta chair reste dans l'encrier. »
« On commence à avoir des malheurs quand on a cessé de ne penser qu'à soi. »
« Il nous faudrait deux bouches : une pour bâiller, et l'autre pour se taire. »
« Tout le monde fait des bêtises. Le fin du fin, c'est de les faire au moment où personne ne regarde. »
« Il y a deux cas dans lesquels un homme ne devrait pas spéculer en Bourse : quand il n'en a pas les moyens et quand il en a. »
« La foi, la liberté et l'amitié sont les principaux biens de l'âme de l'homme. »
« Le différence entre une auto et une moto, c'est que sur la moto il y a deux places du mort. »
« Tout est plus ou moins artificiel. Je ne sais pas où s'arrête l'artificiel et où commence le réel. »
« Organiser d'urgence les jeux olympiques des dopés, toutes drogues confondues étant admises, du moment que les records tombent. Succès garanti. »
« Ecrire ensemble s'avère presque aussi compliqué que de coucher avec quelqu'un et que ça se passe bien pour les deux. »
« On n'éprouve jamais que deux émotions en avion : l'ennui et la peur. »