« C'est toujours des bagatelles qui sont à la source des révolutions. »
« Le temps est comme un fleuve, il ne remonte pas à sa source. »
« L'homme dissipe son angoisse en inventant ou en adaptant des malheurs imaginaires. »
« Le fleuve le plus large, on le passe à la source. »
« Qu'on dise tout ce qu'on voudra des malheurs de l'amour, ils sont charmants. »
« Le souvenir, ce n'est jamais fini, il n'y a pas de commencement ni de fin. »
« La mort est le plus profond souvenir. »
« Les rêves sont de la vie sans souvenir. »
« Les malheurs sont souvent enchaînés l'un à l'autre. »
« C'est inutile de questionner, il faut accepter de savoir sans se souvenir, ou croire qu'on sait, savoir qu'on croit. »
« L'homme voudrait être égoïste et ne peut pas. C'est le caractère le plus frappant de sa misère et la source de sa grandeur. »
« Mais d'où tiens-tu que les malheurs prévus sont plus supportables que les autres ? »
« Au-delà de toi est la source du bien, une source qui peut toujours jaillir, si tu creuses toujours. »
« On n'invente qu'avec le souvenir. »