« Plus nous sentons le besoin d'agir, plus nous devons nous efforcer à la réflexion. Plus nous sommes tentés par le confort de la méditation, plus nous devons nous lancer dans l'action. »
« La vertu est difficile à découvrir ; elle demande quelqu'un qui la dirige et la guide, les vices s'apprennent même sans maître. »
« Si la vertu ne se montrait parfois, le tonnerre à la main ; pour rappeler les vices à l'ordre, la raison de la force serait toujours la meilleure. »
« Combien de vertus apparentes cachent souvent des vices réels ! Le sage est sobre par tempérance, le fourbe l'est par fausseté. »
« La vertu d'un homme ressemble bien plus à ses propres vices qu'à la vertu du voisin. »
« La douleur physique existe pour nous rappeler que nous sommes mortels. Quand on souffre dans notre corps, on découvre combien sotte et vaine est la vanité. »
« On ne découvre jamais mieux son caractère qu'en parlant de celui d'autrui. »
« Comment renoncer aux usances câlines, au confort, au bien-être indolent de la vie ? »
« L'optimiste est celui qui sait à quel point le monde peut être triste. Le pessimiste, celui qui le découvre tous les jours. »
« L'oisiveté est, dit-on, la mère de tous les vices, mais l'excès de travail est le père de toutes les soumissions. »
« Je suis un homme aux vices coûteux... J'ai donc toujours besoin d'argent. »
« La vieillesse est la période de notre existence pendant laquelle nous composons avec les vices que nous chérissons encore, en vitupérant ceux que nous n'osons plus pratiquer. »
« La vertu est le juste milieu entre deux vices. »
« Il n'y a que dans l'adversité qu'on découvre la vraie valeur des êtres. »