« Marcher comme une feuille morte tombée de l'arbre que le vent emporte, sans savoir si c'est le vent qui vous porte ou si vous portez le vent... »
« "Les femmes sont dépensières" c'est ce qu'on dit quand une femme s'achète un maillot de bain. Un homme qui s'achète une Porsche assouvit une passion, faut pas confondre ! »
« Les morceaux choisis, c'est toujours les morceaux choisis par un autre. »
« C'est l'homme tout entier qui est conditionné au comportement productif par l'organisation du travail, et hors de l'usine il garde la même peau et la même tête. Dépersonnalisé au travail, il demeurera dépersonnalisé chez lui. »
« Les liens invisibles laissent les marques les plus profondes. »
« Les vérités historiques sont rarement bonnes à entendre lorsqu'elles ébranlent les fondements de la mémoire collective. »
« Dès qu'on parle une langue étrangère, les expressions du visage, des mains, le langage du corps changent. On est déjà quelqu'un d'autre. »
« Les querelles idéologiques sont quelquefois moins sérieuses que les luttes d'intérêt. »
« Rien ne dure toujours, nous sommes voués à la nouveauté. »
« Quand on est bien dans sa peau, voyager, c'est être ailleurs, ce n'est plus être loin. »
« La création n'avait d'autre utilité, d'autre vocation que de dire la liberté intime, profonde, de l'être humain, par-delà tout ce qui tend à la réduire, à la détruire même. »
« Mon cœur, mon tout, ma lumière, - Vivons ensemble, vivons, - Et suivons - Les doux sentiers de la jeunesse. »
« En amitié comme en amour, les illusions jouent parfois un rôle central. »
« Il n'y a que les causes perdues qui méritent qu'on les défende, que les questions sans réponse qu'il est nécessaire de poser. »