« Plus on vit moins on pense, plus on pense moins on vit. »
« Grattez le Russe et vous trouverez le Tartare. »
« Le chemin du rêve n'est accessible qu'à un tout petit nombre de voyageurs initiés... »
« C'est une règle éternelle de morale et de politique qu'il ne faut jamais pousser son ennemi jusqu'au désespoir. »
« Malheur à celui qui ne peut être seul un jour de sa vie sans éprouver le tourment de l'ennui, et qui préfère, s'il le faut, converser avec des sots plutôt qu'avec lui-même ! »
« Quand tous les hommes se décideront à se traiter en frères, car nous sommes tous frères, n'en déplaise à ceux qui sont trop blancs, nous n'auront plus rien à craindre les uns des autres. »
« Il en est qui, pour avoir vu à découvert les parties secrètes de l'objet aimé, ont été pris d'hésitation au moment le plus vif de leurs transports. »
« La main destructive de l'homme n'épargne rien ; il tue pour se nourrir, il tue pour se vêtir, il tue pour attaquer, il tue pour se défendre, il tue pour s'instruire, il tue pour s'amuser, il tue pour tuer ; il a besoin de tout, et rien ne lui résiste. »
« Le bonheur, on ne le trouve pas, on le fait. Le bonheur ne dépend pas de ce qui nous manque, mais de la façon dont nous nous servons de ce que nous avons. »
« Le mental voit tantôt le bien, tantôt le mal, mais la vision de la Vérité ne voit que le bien. »
« Il y a dans la révolution française un caractère satanique qui la distingue de tout ce qu'on a vu et peut-être de tout ce qu'on verra. »
« Les années nous viennent sans bruit. »
« Si vous voulez quelque chose, peu importe combien de temps, combien de vies, vous mettrez à l'accomplir. L'important est d'essayer, d'essayer encore, jusqu'à ce que vous atteigniez votre but. »
« Le paradoxe, ou la clé, ou l'attrape-nigaud, c'est que l'affirmation de notre volonté est le fondement de notre esclavage, tandis que notre soumission est la condition de notre liberté. »