« Chasse la nature à coups de fourche, elle reviendra toujours au pas de course. »
« Il emporte tous les suffrages, celui qui mêle l'utile à l'agréable. »
« Comme la nuit paraît longue à la douleur qui s'éveille. »
« Ce n'est point le perfectionnement des machines qui est la vrai calamité; c'est le partage injuste que nous faisons de leur produit. »
« Car, vois-tu, chaque jour je t'aime davantage, aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain. »
« Chassez le naturel avec une fourche, il reviendra toujours en courant. »
« Les peintres et les poètes ont toujours eu le droit de tout oser. »
« Commencer, c'est avoir à moitié fini. »
« La pâle mort frappe d'un pied indifférent les masures des pauvres et les palais des rois. »
« Souvent même la crainte de la mort pénètre les humains d'une telle haine de la vie qu'ils se donnent volontairement la mort dans l'excès de leur détresse, oubliant que la source de leurs peines est cette crainte elle-même. »
« Courir au-delà des mers, c'est changer de climat, mais non changer de cœur. »
« Le loup attaque de la dent, le taureau de la corne. »
« Celui qui joint l'utile à l'agréable recueille tous les suffrages. »
« La fiction, imaginée pour amuser, doit, le plus possible, se rapprocher de la vérité. »