« Mon paradoxe est de prier lorsque je n'ai plus foi en rien. »
« On est toujours assis à la place qu'on mérite, le paradoxe c'est que les meilleures places ne sont pas toujours occupées par les plus méritants. »
« Le paradoxe de la haine c'est d'être comme l'amour : une limite extrême des sentiments humains à partir de laquelle il n'y a plus de mots pour en décrire la force. »
« C'est une absurdité, c'est un outrage au genre humain, c'est un attentat contre l'Etre infini et suprême de dire: Il y a une vérité essentielle à l'homme, et Dieu l'a cachée. »
« Depuis des siècles, l'homme est victime d'un paradoxe : il cherche le métal précieux qui le libérera, et pourtant il reste son prisonnier. »
« Le but suprême du travail est la vertu et non la richesse. »
« Cette chose absurde et magnifique, entre haut mal et bien suprême, qu'on nomme si légèrement amour. »
« La volupté unique et suprême de l'amour gît dans la certitude de faire le mal. Et l'homme et la femme savent, de naissance, que dans le mal se trouve toute volupté. »
« Pour un auteur, la trahison suprême, c'est de ne pas être joué. »
« De tous les hommes, le héros est celui qui pense le moins à la mort. Pourtant, nul n'y aspire, d'une façon inconsciente, il est vrai, autant que lui. Ce paradoxe définit sa condition: volupté de mourir, sans le sentiment de la mort. »
« Le couronnement de toute vie humaine est le souvenir qu'on conservera d'elle, et la consolation suprême qu'on promet à l'homme par-delà la mort, c'est la «mémoire éternelle». »
« La suprême ironie de l'amour n'est-elle pas de croire qu'il y a toujours un vainqueur et un vaincu, alors que l'amour se joue bien des amants et en fait ses esclaves. »
« Cette chose est absurde et magnifique, entre haut mal et bien suprême, qu'on nomme si légèrement l'amour. »
« Un Miserere, chanté en choeur par une multitude fouettée du destin, vaut autant qu'une philosophie. Il ne suffit pas de guérir la peste, il faut savoir la déplorer. Oui, il faut savoir pleurer! Et peut-être est-ce là la sagesse suprême. »