« Dieu aime les morts. »
« Je n'ai pas encore vu un homme qui ait pu apercevoir ses défauts et qui s'en soit blâmé intérieurement. »
« Le sage a honte de ses défauts, mais n'a pas honte de s'en corriger. »
« A quoi bon insulter les morts, puisqu'ils n'en souffrent pas ? »
« Les morts n'ont pas de voix, heureusement. Si les morts pouvaient se plaindre, quel cri, quelle clameur. On ne s'entendrait plus vivre. »
« En vieillissant, on perd pas mal de ses défauts, ils ne nous servent plus à rien. »
« Les racines, c'est aussi les morts. »
« Ne pas employer ses défauts ne signifie pas qu'on ne les a pas. »
« Nos morts continuent de vieillir avec nous. »
« Prends ton parti de mes défauts, je m'arrangerai de tes qualités. »
« Le prince habile dans l'art de gouverner les hommes se sert de leurs défauts pour réprimer leurs vices. »
« Les vivants sont toujours, et de plus en plus, dominés par les morts. »
« Le passé est un enfer dont les morts ne peuvent plus sortir. »
« Ce n'est pas parce que les autres sont morts que notre affection pour eux s'affaiblit, c'est parce que nous mourrons nous-mêmes. »