« L'idée de la mort n'est supportable qu'aux imbéciles. »
« Entre malheureux, la sympathie très vite se crée. »
« Quoi qu'on fasse ou décide on se trompe toujours. »
« L'homme doit prendre conscience de ses abîmes pour mieux les contourner. »
« Les livres, c'est comme l'amour, on ne vous en rend rien. »
« Le bonheur ou le malheur ne sont que des étiquettes que l'on met sur des réalités mouvantes, insaisissables. »
« Les mots ont trop servi, on ne sait plus les utiliser. »
« Le métier de journaliste ressemble assez à celui de couturier : de fil en aiguille, plus on avance sur un sujet, plus il change d'allure. »
« A vouloir écarter le pire, on chasse aussi le meilleur. C'est aussi évident qu'à trop craindre la mort on oublie de vivre et qu'à la fin on meurt quand même. »
« La violence, c'est un manque de vocabulaire. »
« C'est l'inconnu qui m'attire. Quand je vois un écheveau bien enchevêtré, je me dis qu'il serait bien de trouver un fil conducteur. »
« Voyager est un travail qu'on fait tout seul. »
« Dans la vie il faut se battre, se défendre, conquérir, réaliser ses rêves et ses désirs. »
« L'âge entraîne une raréfaction des liens aux autres, puisque des compagnons disparaissent, alors que l'aptitude à contracter de nouveaux liens, d'autres amitiés, diminue. La vieillesse est seule. »