« L'homme de science le sait bien, lui, que seule la science, a pu, au fil des siècles, lui apporter l'horloge pointeuse et le parcmètre automatique sans lesquels il n'est pas de bonheur terrestre possible. »
« Oui, c'est un pur miracle, que par des mots enterrés dans des livres, l'on puisse raviver une source, rafraîchir un jardin. »
« Je mesure la lâcheté des hommes dans leur besoin de faire de la pensée un remède aux maux terrestres. »
« J'aimerai faire l'amour avec des extraterrestres. C'est super excitant d'imaginer des relations intimes avec des non-humains. »
« Oui, la mer est tout. Je l'aime! Elle couvre les sept dixièmes du globe terrestre. Son souffle est pur et sain. C'est l'immense désert où l'homme n'est jamais seul, car il sent frémir la vie à ses côtés. »
« On a du mal à imaginer que ceux qui ne sont pas encore au monde ont une existence terrestre. Alors pourquoi ceux qui quittent la vie en auraient-ils une? »
« Frère, il y a dans presque toutes les choses terrestres je ne sais quelle lie ou quel déboire qui vous en dégoûtent, et les rares objets qui par hasard ont la perfection en partage sont mortellement tristes. »
« Nous sommes une espèce jeune, un singe technologiquement sophistiqué, bipède doté d'un cerveau, avec un impact planétaire et des aspirations extraterrestres. »
« L'homme n'a besoin que de trois mètres de terre. L'homme ? Non, le cadavre. L'homme a besoin du globe terrestre tout entier. »
« De quel papillon cette vie terrestre est-elle donc la chenille ? »
« Si le péché originel n'avait pas eu lieu, nous serions certes restés dans le paradis terrestre mais avec la conscience d'un petit animal. »
« L'homme fut un assemblage d'un peu de boue et d'eau. Pourquoi une femme ne serait-elle pas faite de rosée, de vapeurs terrestres et de rayons de lumière, des débris d'un arc-en-ciel condensés? où est le possible?... Où est l'impossible? »
« Qu'on l'imagine céleste ou terrestre, l'immortalité, quand on tient à la vie, ne console pas de la mort. »
« Ce n'est pas à cause de l'attraction terrestre que des gens tombent... Amoureux ! »